Emmanuel Macron: le soutien au président français en chute de 26% | Monde | Nouvelles
Un sondage YouGov a révélé que les notes du jeune président français avaient encore chuté jusqu'à atteindre le quart des personnes ayant pris part aux recherches rassemblées du 1er au 2 juillet. Cette nouvelle a été partagée sur les médias sociaux par Europe Elects, qui analyse les données dans tous les États membres de l'UE. Le sondage a porté sur 1 045 citoyens français interrogés.
Les utilisateurs de Twitter ont afflué sur la page des médias sociaux de M. Macron pour le condamner davantage, l’un l’appelant un «pseudo-président fantoche».
L'un d'eux a déclaré: «Ce pseudo-président découvre avec étonnement, le manque de sérieux de l'Union européenne, selon ses propos, quelle marionnette, toujours avec une posture imprégnée de sa personne, méprisante. Pathétique."
Un autre, faisant référence à son âge à 41 ans, a ajouté: «Mieux vaut jouer avec ses jouets."
Un autre a ajouté: "Votre démission serait la chose la plus intelligente que vous puissiez faire."
Le résultat vient du fait que les notes d’approbation officielles de M. Macron ont chuté à seulement 23% en décembre après l’éclatement des manifestations contre le gilet jaune.
Les manifestations semblent avoir faibli sous les chaleurs de l’été après le début de la mi-novembre, à la suite de la décision de M. Macron de porter le prix du carburant à 23%.
De violentes manifestations qui ont vu des armes arrachées à la police, dix personnes tuées parmi le chaos et les monuments jadis magnifiques de Paris, tels que l'Arc de Triomphe, sont tombées sur des graffitis.
Il est apparu dans une émission de télévision se disant «arrogant» tout en offrant des avantages aux personnes âgées et un meilleur salaire aux citoyens.
Il a également été pris de fureur lorsqu’il a commencé sa présidence en mai 2017, lorsqu’un de ses premiers actes à la tête de la France avait consisté à réformer de manière controversée le réseau ferroviaire français SNCF.
Cela a vu les employés perdre des garanties généreuses d'emploi et de retraite.
Un syndicat furieux a condamné cet acte, considéré comme un pas en avant dans la poursuite de la privatisation du rail.
Son gouvernement a radié 31 milliards £ (35 milliards €) de la dette du réseau ferroviaire. Les syndicats ont entamé trois mois de grève continue qui ont paralysé la France.